Chaque année avant Noël, Josiane nous écrit longuement, son courrier reprend les évènements, les réalisations de l’année qui se termine, elle évoque l’année qui va commencer, fait le point des projets en cours ou en préparation et n’oublie pas de présenter à tous ses vœux les plus chaleureux.
Cette fois sa lettre commence par deux témoignages, des anciens de Berdine, au début des années 80 quand Berdine n’était pas encore ce qu’il est devenu, des témoignages émouvants qu’il est difficile de lire sans avoir les larmes aux yeux tellement ils sont plein de vie vécue… et réussie.
Le mieux est de lire sa lettre… si vous connaissez déjà Berdine vous saurez reconnaître les lieux et les gens, les projets… si Berdine ne vous dit rien… lisez la lettre de Josiane, elle vous en apprendra beaucoup et vous donnera peut-être l’envie de mieux connaître cette communauté extraordinaire.
Nous avons lu votre lettre avec un grand intérêt . Elle est touchante et pleine d’humanité.
Pour connaître Berdine, elle est bien le reflet de ce que nous avons pu percevoir à travers les échanges que nous avons régulièrement avec les Berdinois.
Jean-Michel restera dans nos cœurs tant sa gentillesse et son dévouement nous a marqués.
Bravo pour tout le travail que vous accomplissez et votre investissement.
Nous vous souhaitons un très beau Noël.
Vos voisins des hautes Courennes,
Liliane et Pierrick
Merci pour cette belle lettre , et des deux témoignages, plus proche au niveaux des dtes de RV ,car j’ai fréquenté le lieu en 77,78,79,80 ,je me souviens de avant Noël 79 pour la pose de hotte de la grande cheminée du réfectoire de l’époque, de plein d’autres choses, la messe à Viens, les récoltes de l’ail, des cerises, de chez Jacky Bonnefoix, les cueillettes de Tilleul au petit Berdine, les foins chez Delgado, la récolte de 2000 escargots à l’été 1978 ou 79, la source sous la place principale, l’installation des douches par Jean-Claude Rozet (je l’ai revu en 89, puis plus rien), beaucoup d’histoires pas très saines qui se sont arrangées, quand on pétrissait le pain avec Francis l’Ermite, Valère et sa mobylette, Yvan le belge, Michel le bègue, Henri bien sûr, la grande Dominique qu’on a baptisée à la chapelle de Courennes, la 404 break à Josianne, la Dyane à Henri, l’ami 6 jaune qu’on a empruntée pour aller à Avignon et retour (y a prescription)…
Chaque année je me dis que je vais y faire un tour,………………;tout remonte là maintenant!!!