C’était Valère, tout simplement… Valère de toujours, Valère des débuts de Berdine, Valère le fidèle, qui revenait à chaque fête, depuis Montpellier où il habitait, jusqu’à Berdine, en vélo, en mobylette, en train… Valère l’ami des gentilles fleuristes de la place de la Comédie… On ne se demandera plus si Valère viendra à Pâques ou à Noël. Il est maintenant dans sa « maison », au milieu de sa famille, jusqu’à la fin des temps. Lire la suite